En France, l’arrêt cardiaque est responsable de 50 000 à 60 000 décès par an, 100 à 200 par jours.
- Le taux de survie est estimé à seulement 2 ou 5 %.
- Les professionnels de l’urgence sont équipés de défibrillateurs, mais hélas arrivent généralement trop tard pour améliorer cette situation.
Egalement appelé mort subite de l’adulte ou arrêt cardiorespiratoire, l’arrêt cardiaque est une perte de connaissance brutale avec disparition du pouls causé par l’incapacité soudaine du cœur à propulser le sang vers le cerveau et vers le reste du corps. Il est le résultat d’une arythmie grave qui affecte le système électrique du cœur.
Actuellement, il existe des Défibrillateurs Automatisés Externes (DAE*) utilisables par les professionnels comme le grand public depuis le décret du 4 mai 2007.
D’un emploi simple et sécurisée, le défibrillateur peut être mis en fonction pour un adulte comme pour un enfant.
- Aucun danger ni pour la victime, ni pour l’utilisateur.
- Les consignes sont simples et l’application des électrodes peut sauver une vie ou permettre d’y tenter en attendant l’arrivée des secours.
Un défibrillateur est employé pour administrer une décharge électrique appelé défibrillation* sur une personne en arrêt cardiaque.
L’appareil analyse automatiquement le rythme cardiaque de la victime et propose ou interdit le choc.